Un ulcère variqueux en homéopathie uniciste

Bonjour à toutes et tous,   je vous présente un cas que je suis depuis novembre 2017. Il s’agit d’un homme qui a des ulcères variqueux depuis de nombreuses années. Ceux-ci vont et viennent au gré des traitements allopathiques. Sur les indications personnelles du patient, j’ai mis en place un traitement constitué d’un seul remède car je suis Uniciste, ce qui signifie que le seul médicament que je donne doit être en adéquation avec le patient. Adéquation car on se doit de retrouver les mêmes symptômes physiques entre le patient et le médicament mais aussi correspondance dans les signes psychiques du remède et du consultant.   Le premier médicament tenté ne fut pas concluant. Reprenant ma copie, aidé du patient lui-même, répondant à mes multiples questions, plus en profondeur que la première fois, un autre remède est débusqué. Voici aujourd’hui ce que cela donne avec le second médicament envisagé :  

Novembre 2017

Février 2018

            On peut sans contestation possible dire que l’ulcère est pratiquement refermé, résorbé.   Si je peux commenter un peu et énoncer quelques règles homéopathiques, on ne doit appliquer de crèmes sur l’ulcère ou toute autre manifestation à la peau. Pourquoi ? Ce qui est manifesté à la peau n’est que la matérialisation visible d’un déséquilibre interne plus profond.  Exactement comme la pointe d’un iceberg que l’on voit à la surface de l’eau en omettant de considérer les 3/4 non visibles car immergés.   Pour le corps vivant, l’analogie est identique. Il faut donc, comme une évidence, un remède pris de manière globale, interne, afin qu’il modifie en interne la perturbation sous-jacente.   Ce n’est qu’au prix d’effort de recherche du médicament homéopathique personnel au patient que l’on peut assister à une guérison comme celle qu’illustre la photo de droite ci-dessus.  

Et cette règle est valable pour tous types d’affections.